C’est une artiste activiste de la scène queer italienne qui travaille à l’internationale. Pluridisciplinaire, ses racines sont la danse et la chorégraphie. Elle y mêle ses autres passions dans une fusion de BDSM, d’éveil de l’énergie sexuelle, du travail du son de la musique et la voix.
Ces dernières années, elle s’est consacrée à une recherche sur l’utilisation du mouvement en Afrique, en particulier dans les danses rituelles.
Plein d’humour, le ton de ses ateliers est sans taboo, chaleureux, accueillant et libérateur.
Chorégraphe de théâtre formée à Bologne, elle a terminé son deuxième master en danse traditionnelle et rituelle à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
Son projet principal actuel s’intitule « Le corps de la femme ». C’est un moyen de reprendre conscience du corps et de l’énergie féminine à travers des danses rituelles africaines traditionnelles, en se débarrassant de tous les schémas et idées préconçues dictées par la société de consommation.
Le corps, belle et complexe machine dont nous sommes tou.te.s doté.e.s.
Apprendre à libérer ses émotions, ses sentiments et ses désirs permet recentrage et rééquilibrage du corps et de l’esprit.
Combiner tous ces chemins dans sa sexualité permet sereinement de prendre conscience de ce que nous sommes et de ce que nous voulons / ce dont nous avons besoin.
Ambrita considère d’ailleurs les chemins sex-positifs comme fondamentaux pour tout être humain: la conscience est la base de tout, la conscience permet de s’affranchir et d’être enfin libre d’être soi-même en toute plénitude.